J’ose pas mais obliges-moi

Catégories : Cuckold candaulistes cocu FANTASME Femmes soumises sexuelles
il y a 10 ans

Pascal et Lucie sont un jeune couple assez branché sexe. Lucie n’a pas froid aux yeux, surtout quand ils surfent sur Fessestivites où ils regardent des vidéos. Pascal aimerait bien convaincre sa compagne de faire du libertinage, mais elle n’accepte pas l’idée de le voir avec une autre femme même si c’est juste pour un soir.

Lucie quant à elle, fantasme sans oser lui dire sur les gangs bang, les rapports sexuels f o r c é s comme on voit sur les vidéos avec des filles attachées et baisées à la sauvage par plusieurs hommes. Au hasard d’une vidéo portant sur un jeune couple candauliste pendant laquelle le mari attache sa femme pour l’offrir à un invité de passage, les doigts de Pascal s’aventurent sous la chemise de nuit de sa douce. Parvenus à la croisée des cuisses, lorsqu’elles remontent lentement vers le mont de Vénus les phalanges coquines découvrent un marécage tant Lucie est excitée.

Elle ne peut donc cacher que cela lui fait des choses, Pascal en profite pour revenir sur le libertinage en travaillant sur l’imagination de sa belle. Pendant les discussions, très gênée Lucie finit par lui avouer qu’elle a envie de vivre des choses comme ça mais qu’elle n’ose pas.

« Oui j’ai envie mais impose-moi, attache-moi si tu veux qu’on le fasse. Je ne veux pas voir le mec, si on le fait, il faudra me bander les yeux a fini par dire Lucie » pendant qu’une phalange agile titillait son petit ergot sensible. Ce soir là, il lui attache les mains pour faire l’amour dans le noir en lui disant « imagine que c’est un autre que moi qui te baise ». La plus grande zone érogène étant le cerveau, Lucie atteint ce soir là des sommets insoupçonnés dans la jouissance. La chose est entendue et comprise lorsqu’ils s’endorment lovés dans les bras l’un de l’autre, Pascal va trouver un homme pour réaliser ce fantasme.

Rencontré sur Fessestivites, un beau black répond positivement aux attentes de Pascal, les échanges téléphoniques très sérieux sont prometteurs de plaisir.

Le jour J, ou plutôt le soir prévu, Lucie n’est plus très motivée mais elle accepte le deal convenu à condition qu’elle ne soit pas nue, enfin au départ. Respectant ce souhait, il lui attache les poignets à la tête du lit en lui faisant des tonnes de baisers doux pour la rassurer. Il lui bande ensuite les yeux avant de rajouter un bâillon de fortune afin qu’elle ne puisse réfuter. L’homme attendu est prévenu du scénario, les photos de la belle l’ont très motivé, il entre dans la maison sans sonner comme prévu et les rejoint dans la chambre.

Lucie l’a entendu entrer, si au départ malgré un peu de crainte elle était excitée, elle commence à déchanter et tire sur ses liens pour se libérer. Très calmement Pascal s’approche d’elle, la caresse et lui rappelle ce qu’elle lui a indiqué : « J’ai envie mais impose-moi ». Il soulève la jupe et dévoile à l’invité la tendre intimité de sa femme qu’il caresse négligemment même si les cuisses se resserrent aussitôt.

La vue de cette jeune femme âgée d’à peine vingt ans offerte sur le lit le fait aussitôt bander. En deux temps trois mouvement il se met nu, monte sur le lit, enfile un préservatif puis, attrape une des jambes de Lucie qu’il écarte et soulève prestement pour la rendre accessible à ses désirs. Lucie geint, tire sur ses liens mais elle sait qu’il est trop tard pour s’esquiver. Le contact de la verge bandée fouinant son intimité à la recherche de l’entrée du puits des plaisirs l’affole, elle ne veut plus, elle veut fuir mais l’heure n’est plus à la discussion.

N’étant pas une brute, le black la baise lentement. Lucie, les jambes ultra tendues, pousse un gémissement plaintif lorsqu’elle sent le gland s’insinuer en elle puis la grosse verge s’y enfoncer totalement pour la posséder. Et là, quand il entreprend des mouvements contenus mais puissants, Lucie se sent réellement passer à la casserole. Les caresses de Pascal sur sa poitrine qu’il dénude lui permettent de revenir dans la logique de cette rencontre qui finalement la gêne beaucoup. L’accélération des mouvements de plus en plus puissants commence à la faire agréablement réagir.

L’invité appelé Dan, n’a pas choisi son pseudo pour rien, marteau piqueur ! Au plus il accélère au plus elle perd pieds, elle n’est plus qu’un sexe offert à la recherche de son plaisir. Dan se retire, la couche sur le côté puis la pénètre à nouveau. Par réflexe Lucie essaye de résister, Pascal intervient pour lui maintenir la jambe écartée, elle n’a aucune possibilité de fuite. Le bandeau en tissu ayant glissé, elle peut maintenant voir son « tourmenteur » et le visage souriant de son mari qui lui retire le bâillon pour l’embrasser. Ce baiser bien que furtif l’accompagne dans la montée du plaisir honteux mais si bon à la fois.

Pour la dernière ligne droite, Dan demande à Pascal de la libérer puis de l’asseoir sur lui. Partagée entre « j’ai envie » et « je n’ai plus envie » Lucie se débat encore un peu, ses muscles ne font pas le poids face à deux hommes motivés. Ils lui attrapent les bras qu’ils croisent dans son dos puis la font se pencher en avant. Le marteau piqueur s’emballe et va parfois un peu trop loin en elle et lui fait mal. Plaquée sur le black déchaîné avec les bras dans le dos et la tête maintenus elle n’a pas d’autre choix que de subir un va et vient digne d’un marathonien qui finit par la faire décoller et jouir comme une perdue. Marteau piqueur ne s’arrêtant pas, prise dans la tourmente des sensations trop fortes elle geint en continue jusqu’à la conclusion masculine.

Comme convenu, Dan ne s’éternise pas, il s’habille, leur fait un clin d’œil et quitte les lieux pour les laisser en amoureux. Pascal se lève, éteint la lumière de chambre, se dévêtit rapidement pour rejoindre sa belle qu’il dévore de baisers doux de la tête aux pieds avant de la prendre à son tour. Lucie l’interrompt un instant et le repousse en lui disant « j’ai un petit cadeau pour toi » en dirigeant la verge de son mari à l’entrée de sa petite porte vierge et refusée jusqu’à présent. Lentement mais sûrement, le gland franchit l’étroit passage sans réellement générer de douleur à Lucie décidée à s’offrir. Deux minutes plus tard, couchée sur le dos avec les jambes et les mains bloquées derrière sa tête elle crie des mots surprenant dans une aussi jolie bouche, défonce-moi en……..

Ecrivaillon

PRECISIONS
Les femmes dites soumises sexuelles ne sont pas des objets. Elles choisissent librement et ce sont des jeux d'adultes consentants.
Toutes les soumises ne sont PAS soumises sexuelles.
Toutes les femmes ne sont PAS soumises.

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Ah les fantasmes et la tentation d'y succomber
Très bien écrit, on s'y croirait et cela donne des idées. Merci pour ce super récit
Un super récit qui me donne encore des idées d'images très cochonnes
Si le pervers coquin a trouvé des idées dans ce super récit, faut s'attendre à de supers images
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